Depuis son atelier, l’artiste norvégien Eirik Falckner (@eirik.falckner), qui se dissimule toujours derrière un masque lors des séances photo, regarde l’eau à Bergen. Ce qui le rend unique ? Son habitude d’intégrer des fossiles, tels que des dents de requin, dans ses sculptures et ses masques. Il n’hésite pas non plus à utiliser des pierres de lave volcanique. Quelle que soit la méthode, il n’a jamais un contrôle total sur le résultat final, notamment lorsqu’il laisse des moules, des balanes ou des rayons de miel se développer sur ses sculptures. Dans son œuvre, la frontière entre l’humain et la nature se dissout, faisant écho aux enjeux écologiques de demain.